Meeting the Woman Who Will Become Your Surrogate

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Meeting the Woman Who Will Become Your Surrogate

After consulting and analyzing for hours and hours the surrogate profiles sent by the agency, you have finally asked that your profile and your presentation video be sent to certain surrogates, hoping that it will be right good fit. After several negative feedbacks, many waiting days and a lot of hope, your CFC case specialist tells you the good news that a potential surrogate has flashed on your profile and is reaching out to you.

What follows is of course an explosion of joy! Your case specialist then sends you several e-mails to explain and advise you about your first contact with her. Once you have read these emails, your case specialist will send you the contact details.

Now, there is no question of hesitating because you only have 2 weeks to decide if you want to go further. You have to get to know your potential future surrogate. You will have to get to know this person that until now you did not know existed, discover her expectations, her tastes, her hobbies, and even to the name of her pet. During this stage, we are excited and we would like to know everything. But at the same time, we don’t want to be rude or break the intimacy of a person whose goodness we only want.

For our part, we started with some emails and then very quickly we exchanged by WhatsApp. We got to know each other by exchanging pieces of music and pictures of our daily lives. Like a bargaining chip, every melody exchanged was the tacit permission to take another step in the life of the other.

So, after realizing that we could connect on various levels, including a mutual love for Celine Dion, we were called for the first time in video by Skype. After 2 weeks of intense exchanges for our part (be careful to respect everyone’s communication wishes because each person has different expectations and a different personality), comes the big decision day. CFC asks the intended parents and the surrogate whether they want to continue the adventure together. If both say “yes” then this is the “match” and we can then go to screenings and different tests.

So, we used to exchange a few messages every day and some Skype as the months progressed. It is thus day after day that this relation of confidence has been woven. We choose a profile but we are the artisans of the story that we weave together.

After all these moments of exchanges comes the first medical examinations, which will be the first sources of anxiety. It’s at this moment that we know if the ties we have created will materialize and not be a source of disappointment in the event that our surrogate would not be “biologically capable” of carrying our child. These steps may take more or less time, but they will allow you to build a solid foundation for the future baby. It will also be necessary to then find the lawyer who will draft the contract that will bind you for the rest of the trip. It must allow future parents as well as the surrogate to engage peacefully in the process. It will help address practical issues such as compensation issues for future constraints that will arise from pregnancy.

Thus, one should not hesitate to discuss subjects such as the possible care of the surrogate’s children, her journeys to various medical check-ups, and of course the loss of income if she were to be bedridden or stopped when pregnancy will be more advanced. For all financial matters, we really advise you to always treat this through your respective lawyers. Never speak “money” with your surrogate. Indeed, even for informational purposes, it can quickly become a subject of tension. Your only goal is to do everything for the sake of your surrogate and manage cash with CFC and lawyers. When we offer a gift, it’s to please and not to discuss the price with its beneficiary.

To conclude, the key word of the meeting in the development of the contract is “tact”. So you guarantee a calm relationship without frustrations, and an efficient management of logistics with dedicated interlocutors.

 

La rencontre de celle qui va devenir VOTRE mère porteuse !

Ça y est, après avoir consulté et analysé pendant des heures et des heures des profils de mères porteuses envoyés par l’agence CFC, vous avez demandé à ce que votre profil et votre vidéo de présentation soient envoyés à certaines mères porteuses en espérant que ça sera la bonne 😉

Après plusieurs retours négatifs, plusieurs jours d’attente et d’espoir, votre spécialiste de cas à CFC vous annonce la bonne nouvelle qu’une mère porteuse potentielle a flashé sur votre profil et vous tend la main.

C’est bien sûr l’explosion de joie ! Votre spécialiste de cas vous envoie alors plusieurs mails pour vous expliquer et vous conseiller concernant le premier contact avec elle.

Une fois que vous avez pris connaissance de ces mails, votre spécialiste de cas vous envoie alors les coordonnées de contact.

Maintenant, il n’est plus question d’hésiter, car vous avez seulement 2 semaines pour décider si vous souhaitez mutuellement aller plus loin.

Il faut faire connaissance avec votre potentielle future mère porteuse. Il va falloir apprendre a connaître cette personne dont vous ignoriez l’existence il y a encore quelques semaines, découvrir ses attentes, ses goûts, ses hobbys, et même jusqu’au nom de son animal de compagnie.

Lors de cette étape, on est excités et on voudrait tout savoir. Mais en même temps, on ne veut pas être impoli et ne pas casser l’intimité d’une personne dont on ne veut que le bien.

Pour notre part, nous avons commencé par quelques mails puis très vite nous avons échangé par WhatsApp. Nous avons appris à nous connaître en s’échangeant des morceaux de musique et des photos de notre quotidien.

Comme une monnaie d’échange, chaque mélodie échangée était l’autorisation tacite de faire un pas de plus dans la vie de l’autre.

Ainsi après s’être aperçu que nous pouvions faire cohabiter saoul américain, Céline Dion, chansons françaises et chansons québécoises, nous nous sommes appelés pour la première fois en visio par Skype.

Après 2 semaines d’échanges intenses pour notre part (attention à respecter les volontés de communication de chacun car chaque personne à des attentes et une personnalité différente), vient le grand jour de la décision.

CFC demande aux parents intentionnels et à la mère porteuse chacun de son côté s’ils souhaitent continuer l’aventure ensemble. Si les deux disent « oui », alors c’est le « match » et on peut passer ensuite passer aux dépistages et différents tests.

Ainsi, nous avons pris l’habitude d’échanger quelques messages tous les jours et quelques Skype au fur et a mesure que les mois avançaient.

C’est donc jour après jour que cette relation de confiance s’est tissée.

On choisit un profil mais nous sommes les artisans de l’histoire que nous tissons ensemble.

Après tous ces moments d’échanges, vont commencer à se profiler les premiers examens médicaux, qui vont être les premières sources d’angoisse.

C’est à ce moment que l’on sait si les attaches que l’on a créées vont se concrétiser et ne pas être sources de déceptions dans le cas où notre mère porteuse ne serait pas “biologiquement capable” de porter notre enfant.

Ces étapes peuvent prendre plus ou moins de temps mais elles vous permettront de construire une base solide pour le futur bébé.

Il faudra également ensuite trouver avec l’avocat les mots juste dans la rédaction du contrat qui va vous lier pour le reste du voyage.

Il doit permettre aux futurs parents comme à la mère porteuse de s’engager sereinement dans le processus.

Il va permettre d’aborder les questions pratiques comme les questions de dédommagement des futurs contraintes qui vont découler de la grossesse.

Ainsi il ne faut pas hésiter à aborder des sujets comme la garde éventuelle des enfants de la mère porteuse, ses trajets pour se rendre aux divers examens médicaux de contrôles, et bien-sûr la perte de revenus si elle devait être alitée ou arrêtée quand la grossesse sera plus avancée.

Pour toutes les questions financières, nous vous conseillons vraiment de toujours traiter ça par le biais de vos avocats respectifs. Ne jamais parler « argent » avec votre mère porteuse.

En effet, même dans un but informatif, cela peut rapidement devenir un sujet de tensions.

Votre seul but est de tout faire pour le bien de votre mère porteuse et de gérer la trésorerie avec CFC et les avocats.

Quand on offre un cadeau, c’est pour faire plaisir et non pour évoquer le prix avec son bénéficiaire.

Pour conclure, le maître mot de la rencontre à l’élaboration du contrat est « tact ». Ainsi vous garantissez une relation apaisée sans frustrations. Et une gestion efficace de la logistique avec les interlocuteurs dédiés.